Pendant Copenhague

Il faut que j’avance les articles sur l’énergie qui me rappellent trop mon passé professionnel. J’ai un peu joué la montre avec les deux premiers articles sur l'énergie et l' écologie, en étant philosophe, partisan d’une décroissance qui ne plait pas aux écologistes de droite, ceux de Sarkozy.

Dumont

Dumont (au pull rouge) ai a été un des premiers à expliquer les conséquences de ce qui ne s'appelait pas encore la mondialisation : explosion démographique, productivisme, pollution, bidonvilles, fossé grandissant entre pays du Sud et pays du Nord.
Il fut également le premier à utiliser les mots développement durable.^[
En 1974 à l'initiative de divers groupes et personnalités (Amis de la Terre, Pollution Non, Jean Carlier et les Journalistes-écrivains pour la nature et l'écologie) René Dumont fut choisi pour se présenter à l'élection présidentielle consécutive à la mort du Président Pompidou, en tant que premier candidat écologiste (wikipédia)

A la même époque, nous avons fondé, avec Bernard Defillon, une association écologiste, à Gaillon, le "Mouvement écologiste gaillonnais", où certains (dont Alexis Duclos) firent leurs premières armes dans cette association qui leur servit de tremplin dans la vie active.

Eh ! oui, il y a des écologistes de droite ou plutôt, faudrait-il mieux dire, les partis de droite ont compris que les écologistes constituaient un danger et qu’il ne fallait pas leur laisser le terrain politique libre ( On dit que les électeurs préfèrent l'original à la copie et puis on ne va plus faire de pub à Cohn-Bendit qui ratisse large en parlant avec Bayrou, ce centriste mou) . Cette "prise de conscience écologiste" a  commencé avec le grenelle de l’environnement où étaient réunies toutes les associations qui se préoccupent d’écologie (pour mieux les rendre apolitique ?) Puis on a fait plaisir à Nicolas Hulot, en signant son pacte. Tant qu’il s’agit de signer des engagements, de débattre, ça ne mange pas de pain. On a créé un "grand" ministère de l’environnement, confié d’abord à un ancien premier ministre qui avait découvert l’écologie dans sa retraite canadienne puis à Borloo flanqué d’une secrétaire d’Etat à l’environnement (l'actuelle est Chantal jouanneau cf; Photo ci-dessous). Enfin on a laissé à cette secrétaire d’Etat,une vernonnaise, le soin de théoriser l‘écologie telle que l’entend l’UMP. 

On a fait marteler aux ministres qu’ils étaient contre la décroissance, que cela aller créer du chômage, la preuve, la récession actuelle coûte des chômeurs en plus, on approchera des 10% à la fin de l’année 2010. L’écologie de droite, c’est se préoccuper un peu de l’effet de serre, il faut bien préparer Copenhague, en créant une prime à la casse qui a un effet favorable sur la vente   des petites automobiles et une taxe carbone, qui devrait faire plaisir aux « écolo», puisque on met en œuvre les principes qu’ils défendent,  comme « pollueurs, payeurs ». La France apparaît aux yeux de la planète comme vertueuse, sinon au pire, comme donneuse de leçon, en respectant ses engagements de Kyoto, en ayant misé sur le Nucléaire qui ne dégage pas de CO2. L’écologie de droite est celle qui ne change rien au capitalisme, qui nous a pourtant conduits sur le chemin de la crise actuelle et que l’on devait moraliser avec un autre gars de gauche, Tony Blair, qu'on a fait venir exprès d'Angleterre. Seuls quelques produits nouveaux sont lancés sur le marché des produits verts pour bobos qui ont encore du fric, permettant de faire du business, du business vert.La grande distribution l'a bien compris soit en se repositionnant vers ce marché prometteur et à forte valeur ajoutée des produits bios, équitables, naturels, allégés, vers les alicaments qui sont censés réparer les dégâts dénoncés par les nouveaux prédicateurs que sont Hulot ou Yan Arthus Bertrand qui contemplent du haut de leur machine volante les beautés de la nature épargnée.

 

Rassurez-vous, il y a aussi une écologie du PS. Tous les partis ont enfin découvert l'écologie (Depuis la création par Daniel Daniel Cohn-Bendit, José Bové et Eva Joly, d' "Europe Écologie"). Martine Aubry parle d'une écologie inhérente au PS : elle parle de "sociale-écologie".

Il faut terminer ces articles sur l’énergie avant que la réunion de192 Etats de la planète, à Copenhague ne soit clôturée sinon j’aurai l’air d’un "commentateur" alors que j’ai quelques idées sur la question. J’aurai l’air de me quereller avec Claude Allègre, comme un vulgaire enseignant ne veut que défendre ses avantages acquis dont la durée des congés et la retraite de la fonction publique. Je connais au moins deux personnes qui sont les groupies de Claude Allègre, ce scientifique qui aimerait refaire de la politique. Il a raté sa première entrée quand il était ministre de l’éducation. Il a oublié qu’on ne fait pas une politique de droite dans un gouvernement de gauche, que certes on peut avoir raison tout seul parce qu’on est le plus intelligent, mais alors il faut s’attendre à connaître quelques résistances.

Claude Allègre émet des doutes sur les théories du GIEC, théories qu’il qualifie d’ « officielles ». Les officiels seraient l’ONU. Celle-ci a commandé des études dur le climat, au GIEC groupe composé de scientifiques, indépendants de cette institution.

A savoir, le réchauffement climatique dû à l’effet de serre, du fait de l’augmentation du rejet dans l’atmosphère, principalement du gaz carbonique (CO2), ainsi que du méthane.
Cette vérité scientifique, qui n‘a pas été émise, à l’origine par le GIEC, est antérieure à l’écriture des rapports du GIEC qui n’a fait que faire sienne cette théorie, en la prouvant.
Claude Allègre se refuse à  imputer la responsabilité du réchauffement, à l’homme qui ne serait pour peu dans ce réchauffement .
Il en veut aux climatologues qui accaparent tout l’argent allant à la recherche. On croirait entendre notre président du sidaction reprochant au téléthon de drainer toute la générosité des français.
En outre, il se méfie des vérités incontestables alors que les découvertes scientifiques dans un monde complexe viennent infirmer le lendemain les théories les plus admises.
Il qualifie les défenseurs de la théorie du réchauffement « dictateurs intellectuels ». Des scientifiques opposés à la thèse « officielle » seraient empêchés de parler, on supprimerait leur poste et seraient victimes de campagnes de calomnies qui viendraient les salir.
Ce réchauffement, selon Claude Allègre seraient bien du à l’effet de serre. Mais celui-ci viendrait des caprices de l’eau de l’atmosphère, sous la forme des nuages dont on ne parvient pas à modéliser le cycle ou cet effet de serre serait du aux poussières naturelles ou au rayonnement cosmique et on aurait aussi sous estimé le rôle du soleil.

Loin de moi l’idée de trancher ce débat qui rappelle un peu trop la théorie du complot.

Dessin conspirationiste antisémite et antimaçonnique du début du XXe siècle, montrant la France catholique “conduite” par les Juifs et la francs-maçons (Achille Lemot pour Le Pèlerin, n° du 31 août 1902).

 Quel intérêt ont des scientifiques « officiels » à inoculer une peur qui leur serait dictée par les nations unies qui les ont réuni.
Finalement les comploteurs de la planète ne sont jamais les mêmes. Tant mieux ainsi le complot profite à beaucoup de monde.

Le réchauffement climatique est indéniable.

La communauté internationale est consciente qu’il y a urgence à agir. Elle veut réduire l’augmentation du rejet du CO2 dans l’atmosphère qui, outre sa responsabilité dans l’effet de serre, permettra de lutter contre l’épuisement des ressources de notre planète compte tenu de la surconsommation … des pays riches et au premier rang desquels figure les Etats-Unis. La polémique avec Claude Allègre et ses partisans qui ont tendance à le fuir tant celui-ci pratiquent l’approximation et l’amalgame (n’est pas Giordano Bruno qui veut).

Mais qui consomment le plus d’énergie et sous quelle formes, et qui seront les plus impactés par les décisions de Copenhague, depuis que la France n’est plus un pays agricole ?
Son identité a effectivement évoluée.
En 1946, après la seconde guerre mondiale, les paysans représentaient 36 % de la population active et 2% aujourd’hui, alors que le France est le 2^ème exportateur mondial de produits agricoles.

Maintenant, on peut manger de la viande tous les jours. Nous avons beaucoup de vaches qui par leur flatulences contribuent au réchauffement climatique. On utilise aussi beaucoup de pétroles pour produire leurs aliments qui sentaient le poisson du temps de la vache folle (tiens qu’est-elle devenue), pou produire leurs hormones, il faut aussi les conduire à l’abattoir qui donne du travail aux ouvriers agricoles que les campagnes n’emploient plus.
Une  vache consomme :
- 21 510 litres de pétrole par an.
Sans compter les bouses de vaches qui peuvent servir de combustible et permettent à l' Inde où elles sont ramassées (ils ne manquent pas de bras dans la population pauvre et capable de les changer cet excrément en or) d’économiser 0,21 tonnes équivalent pétrole (TEP) par an et par habitant.
C’est trop peu pour sauver les vaches et la viande que nous mangeons. Nous deviendrons tous végétariens sachant qu’on consomme moins d’énergie pour faire pousser un poireau dans notre jardin.

Après Copenhague, nous ne devrions pas consommer l’énergie comme avant, donc changer notre manière de vivre.
Actuellement, en Europe, la nourriture parvient dans notre assiette après un périple de 1000 km, en moyenne.

Nous avons besoin d’une voiture pour aller travailler (surtout si nous habitons à la campagne) ou pour aller en vacances au soleil, dans le Sud.
Nous chauffons notre habitation quand nous ne la surchauffons pas et nous l’éclairons sans compter les biens dont nous avons besoins et dont la matière première sert aussi de source d’énergie : le pétrole (biens en plastique, tissus synthétique et autres produits chimiques à base de pétrole.
A noter que l’automobile est omniprésente dans notre société où elle emploie, avec tous les services annexes 10% de la population active.

M. Cochet utilise un vélo pour se rendre à l’assemblée Nationale et une voiture pour retourner à Paris, après avoir soutenue Jean-Claude Marie dans un meeting des verts, à Vernon pour les élections régionales.
Il sera difficile de passer du jour au lendemain de la voiture au vélo.

En 2008, nous avons atteint le « Peak oil ». La production de pétrole a déjà diminué par rapport à la production des années antérieures. Et les réserves découvertes en une année, en 2008, ont été inférieures à la production de cette même année.

*

Un pic pétrolier désigne le sommet de la courbe qui caractérise la production pétrolière d'un puits ou d'un champ pétrolier ; par extension le « pic pétrolier mondial » (abrégé en Peak Oil en anglais) désigne le moment où la production mondiale de pétrole plafonnera puis commencera à décliner du fait de l'épuisement des réserves de pétrole exploitables. Il ne semble pas certain que les évènements suivent une courbe régulière (montée, sommet, descente). D’après wikipédia.
Le prix du pétrole a atteint en Juillet 2008 un sommet, près de 150 $ le baril, dénotant la tension entre une demande mondiale qui était en hausse, du fait notamment de la croissance chinoise tandis que la production atteignait le « peak oil ».
La crise avec sa baisse de la production et donc la baisse de la consommation de pétrole, a été la bienvenue pour faire baisser les prix du pétrole mais cette aubaine sera de courte durée.
Nous, on s’en fout (on n’a pas de pétrole ni d’idées), mais on a le nucléaire.
Oui, si on cache les déchets nucléaires (La plus grande partie des déchets radioactifs provient de l'industrie électronucléaire qui utilise et génère des matières radioactives dans les différentes étapes du cycle du combustible nucléaire. Ils se distinguent principalement par leur activité : les déchets de « haute activité », cendres du combustible nucléaire, sont plus d'un milliard de fois plus radioactifs que les déchets de « faible activité », qui ne contiennent que des traces de produits radioactifs. Ils se distinguent également par leur période radioactive, qui permet une extinction naturelle de la radioactivité à l'échelle de quelques années pour les radionucléides « à vie courte », mais impose une gestion à long terme, voire très long terme, pour les déchets « à vie longue » dont la durée de vie se compte en million d'années. Ils se distinguent enfin par leur état (solide, liquide, gazeux) et leur composition chimique).  

Périodes radioactives de quelques isotopes :
krypton ⁸⁵Kr 10,7 ans
tritium ³H 12,3 ans
carbone ¹⁴C 5,7 milliers d'années
plutonium ²³⁹Pu 24 milliers d'années
iode ¹²⁹I 17 millions d'année
s uranium ²³⁵U 710 millions d'années >
uranium ²³⁸U 4,5 milliards d'années
thorium ²³²Th 14 milliards d'années

et le nucléaire est tributaire de la durée des réserves d’uranium : quelques années (15)

« Les réserves prouvées correspondent à cent quarante ans de production  ce qui est un ordre de grandeur courant en matière de prospection minière ; l'équilibre se faisant quand les conditions ne justifient pas un effort de prospection supplémentaire. Cette évaluation est très fortement dépendante des conditions économiques. Selon l’ Agence pour l'énergie nucléaire, il y a encore assez d’uranium pour répondre à la demande mondiale pendant un siècle et dem A condition que cette demande n'augmente pas, la consommation d'uranium représente 8% de la production énergétique contre 80% pour le pétrole, si l'uranium devait remplacer le pétrole il faudrait diviser par dix cette durée. »(extrait de wikipédia)

Les énergies renouvelables peuvent-elles remplacer l’énergie nucléaire actuelle dont les années sont comptées du fait de son succès actuel pour lutter contre l’effet de serre et le raréfaction le l’uranium ? Est-on capable d’en produire suffisamment pour maintenir notre standard actuel de consommation étendu à l’ensemble du monde ?

- L’énergie solaire : le soleil ne devrait pas s’éteindre tout de suite et il se cache par fois dans certaines contrées et la nuit. Il faut produire les panneaux photovoltaïques qui s’usent.

- L’éolien. Certains trouvent les éoliennes aussi laides que les lignes à haute-

tension. Le vent ne souffle pas tout le temps, sauf en mer, dans certaines contrées.

- L’hydroélectricité. En France tous les sites possibles sont exploités. Parfois les barrages cèdent (N’est-ce-pas les habitants de Fréjus, dont les survivants de la catastrophe éponyme, vient de marquer le 50ème anniversaire.).

Alors, quelle(s) solution(s) ? 

Sources   d’énergie en France en 2008	%
Sources énergies fossiles : (y.c. énergies fossiles   entrant dans la production d’électricité)   - Charbons   - Pétrole   - Gaz	4
	33
	21
Electricité (y.c. électricité produite dans les centrales :   thermiques et nucléaires)	43
Energies renouvelables autres qu’électricité	5

Source : ministère de l'écologie, de l'énergie, du développement durable et de l'aménagement du territoire.

	pétrole

Energie fossile : dégage du gaz carbonique. Ne peut être renouveler en une génération.

Energies renouvelables non transformées en électricité= énergie thermique renouvelable : 5% des sources d’énergie .N.B. pour avoir l’ensemble de l’énergie renouvelable, il faut ajouter l’énergie renouvelable qui sert à produire l’électricité.

Géothermie (une partie est transformée en électricité)
Bois énergie (utilisé pour le chauffage)
Déchets urbains solides (recyclage des ordures dans les chaufferies)
Biogaz ou biomasse (transformation de végétaux en carburants)
Résidus de récoltes
Pompe à chaleur
Energie solaire thermique (chauffe-eau solaire)

Production d’électricité selon les selon les sources d’énergie.

En France, en 2008

   

Thermique (centrales   énergies fossiles)   Nucléaire (centrale de prod.nucléaire) Renouvelable : 13,4 %  - hydroélectricité   (Barrages)        12,4%  - solaire photovoltaïque et éolien : 1 %

%   10 , 4 76,2 12,4 1

Energie primaire

Une source d’énergie primaire est une forme d’énergie disponible dans la nature avant toute transformation.(Wikipédia)
Dans les statistiques de comparaison de la production et de l’utilisation de l’énergie, on a l’habitude de considérer comme énergie primaire, l’énergie qui résulte de la première transformation (ainsi la chaleur nucléaire, l'électricité éolienne ou l'électricité hydraulique est-elle considérée comme électricité primaire).

QUELLE UTILISATION ?

L'énergie est principalement utilisé par le "Résidentiel/tertiaire".

Les émissions de CO2 du secteur résidentiel-tertiaire

Les émissions de CO2 du secteur résidentiel-tertiaire ont globalement diminué de 19 % entre 1970 et 2006. Cette baisse des émissions correspond à la diminution du contenu carbone des énergies utilisées, essentiellement pour le chauffage et la production d’eau chaude.

Entre 1980 et 1990, les émissions de CO2 du secteur résidentiel-tertiaire ont diminué de 26%, principalement en raison du développement du chauffage électrique qui a accompagné celui du parc électronucléaire. L'utilisation du gaz comme alternative au fuel a également contribué à abaisser les émissions de CO2 depuis 1980. En effet, à énergie fournie égale, la combustion du gaz rejette moins de CO2 que celle du pétrole.

Cependant, entre 1990 et 2006, les émissions de CO2 du secteur résidentiel-tertiaire ont augmenté de 10%, pour atteindre 91,6 MtCO2. Cette hausse est concomitante à une augmentation de la consommation d'énergie du secteur résidentiel-tertiaire. En 2006, ce secteur est responsable de 23% des émissions totales de CO2 en France, ce qui en fait la troisième source d’émission derrière les transports (34%) et l’industrie manufacturière (24%).

Puis l'énergie est utilisée par les transports dont les chauffeurs des poids lourds actuellement. Ils menacent les dépôts des donneurs d'ordre pour obtenir satisfaction à leur revendications salariales. Les employeurs ont reporté sur leurs chauffeurs les difficultés de la filière; celle-ci s'expliquent principalement par la hausse des carburants, l'ouverture à des pays qui ont rejoints l'Europe, conjuguées à la récession économique (moins de marchandises à transporter). De plus, dans ce ctexte, le transport routier n'a pas le vent en poupe.
Attention, en dessous, un peu plus loin , par qui, quels secteurs de l'économie sont uti lisées ces sources ?

En France, en 2008 PRINCIPAUX UTULISATEURS	Principales sources utilisés	%	Cumul
Industrie	Electricité	24
Résidentiel-Tertiaire	Electricité et Gaz	38
Transports	49 millions tep de Pétrole(40%)	27
Agriculture		2
Matières premières	Pétrole	9	100

POUR un aperçu de ce qui s'est  passé à Copenhague, cliquez sur les liens ci-dessous :

- arrêt sur images

- l'émission de canal + : "Copenhague : dynamique d'un accord inachevé".

Après les cercueils écolos en bois issu de forêts gérées durablement et en matières naturelles, des sociétés de pompes funèbres commercialisent des cercueils ou des urnes en carton 100 % biodégradable et même personnalisables. Pour tous ceux et celles qui veulent faire un dernier geste pour l'environnement !

Comments

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Thank you for sharing I wish I could go somwhere.

[LOL]

Un hardi novateur a lancé l'idée de capter dans l'atmosphère le gaz carbonique indésirable, à l'aide de la chaux vive. Il oublie simplement que la fabrication de celle-ci par calcination du vulgaire calcaire, produit justement la même quantité de CO2 que ladite (en un seul mot) chaux sera capable d'absorber. La proposition apparait donc comme non seulement farfelue mais aussi stupide !